Les cours s’enchaînent très bien, c’est parfois un peu lent car au lieu d’être 10 comme à Birmingham, on est 16 (qui est le con qui ose prétendre que le nombre d’élèves n’influence pas la qualité du cours ???) et en fait j’apprends qu’il s’agit d’un groupe mixte B2/C1. Donc pour moi il n’y aura pas de progression vers le C2. Ce n’est pas grave, je n’ai pas d’enjeu, mon patron en m’augmentera pas pour ça… C’est toujours plaisant, j’apprends plein de trucs, bref c’est chouette.
Finalement je parviens à prendre contact avec le fablab ‘Institute of Making’ (http://www.instituteofmaking.org.uk) niché dans la faculté du University College London. Je fais une petite visite sympathique du lieu, où des étudiants et des porteurs de projets s’affairent. Evidemment il y a plein de machines fabuleuses !
.Ce qui m’étonne le plus c’est le seuil de sécurité tout à fait normal pour ma pratique, vu depuis quelqu’un comme moi qui sort de l’atelier mais complètement dingue pour les français avec nos histoires de normes soi disant européennnes (mais que seule la France s’impose) qui bloquent tout… Dans un lycée anglais j’avais déjà observé ce décalage.
Au nord, en retour sur la route vers l’hôtel, à Hampstead, il y a un très grand et très joli parc d’où on voit la ville, avec des célèbres étangs dans lesquels on peut se baigner, super atypique, à voir !