Internet dans les tuyaux

Voici une série de photos glanées dans des articles et des sources variées sur Internet. Ce qui est intéressant est de souligner le passage par câbles de tous nos Tera-octet de données. Même les amoureux du wifi, du CPL, du bluetooth ou de je ne sais quoi de non filaire, savent très bien que rien ne vaut le câble (donc le RJ45 sur nos petits réseaux) pour acheminer des données à moindre coût, avec un débit important et avec un maximum de sureté. La suite en images ! Toutes ces informations sont tirées de l’excellent blog :

Tout d’abord, petit rappel : Internet traverse encore les océans par des câbles sous marins ! Mais par où ? Voilà la réponse :

Comme on peut le voir, un internaute sud-américain qui voudrait accéder à un site russe, doit passer par l’Europe ou par l’Australie, via les États-Unis. Autant dire que tout ceci peut s’effondrer comme un château de cartes en cas de défaillance d’un des relais.

Le nombre de liaisons a explosé. Alors qu’en 1901, la longueur totale des câbles représentait 25 fois le tour de la terre, aujourd’hui c’est plus de 65 fois !

L’explosion du trafic a rendu obligatoire la multiplication des câbles. Mais les avancées technologiques ont permis de limiter leur propagation. Alors qu’en 1901, un câble télégraphique était capable de transporter 80 à 90 mots par seconde, aujourd’hui, c’est plus de 7 Terabits/sec de données qui transitent dans les fibres.

Ces avancées ont permis des économies d’échelles. En 1901, envoyer un télégraphe coutait 1$ le mot, soit l’équivalent de 25$ d’aujourd’hui si l’on tient compte de l’inflation. Aujourd’hui, un abonnement internet coute en moyenne 39ù$ aux États-unis, pour une utilisation d’environ 13 heures par jours.

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